Témoignages d'hébergeurs

Si je ne peux plus louer dans les conditions actuelles mon appartement, je ne pourrais plus payer de loyer dans Paris et je serais obligé de vendre pour laisser l'appatement à des étrangers ou des personnes qui ne vivent pas à Paris, juste pour un pied à terre. Mes locataires font vivre le quartier et les petits commerces en faisant à manger à la maison ou dans les restaurants.

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Mathieu Deleau Paris

Je loue un seul bien. Je ne vis pas de la location saisonnière bien au contraire. Je loue car c'est le seul moyen de pouvoir payer mes crédits et en même temps pouvoir bénéficier de temps en temps de mon bien immobilier. En même temps cette activité me permet de rencontrer beaucoup de clients d'horizons et destinations bien différentes et faire valoir l'accueil à la française. Sans ce revenu d'appoint, je serais certainement obligé de vendre le bien que je prévois pour une future retraite.

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Jean-Yves Challies Gard

En tant que loueur en location de courte durée, je trouve dommage de vouloir restreindre les logements car le tourisme est l’un des points forts de la France. Nous attirons des touristes qui consomment chez nous, nous versons une taxe de séjour aux villes et des impôts. L’origine de la crise du logement est due à la baisse des prêts accordés.

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Caroline Bedel Yvelines

Je ne comprends toujours pas en quoi la diminution du nombre de nuitées et l'alourdissement de la fiscalité sur les locations saisonnières de la résidence principale vont améliorer de quelque manière que ce soit l'accès au logement à l'année... Cela n'aura pour conséquence que d'augmenter les prix des locations par leur raréfaction. 

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Tony Brilland Pyrénées-Atlantiques

Nous avons aménagé un hébergement que nous louons aux curistes de Rochefort, ce qui nous complète une faible retraite. Je ne vois pas qui pourra remplacer ces locataires occasionnels si l'abattement que nous consent l'administration est supprimé notre revenu sera amputé de 71% ? Notre bien devient invendable et nous n'aurons plus les resources suffisantes pour l'entretien de nos bâtiments. Triste avenir que l'on nous dessine.

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Marc Baudouin Charente-Maritime

Propriétaire de deux petits appartements, dont un que j'occupe en résidence secondaire pour longues périodes et fréquentes périodes. Je loue le second en courte durée pour pouvoir héberger en complément du principal, les membres de ma famille, mes amis... Ainsi nous pouvons passer des séjours plus agréables. Je donne aussi la possibilité à des familles et voyageurs de séjourner en ville tout en équilibrant mon budget... Je peux ainsi continuer à entretenir cette maison familiale. Ces locations n'ont rien à voir avec un quelconque investissement financier de rapport.

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Denis Bernard Hautes-Alpes

Mère célibataire avec 3 enfants, l'activité de location saisonnière et ponctuelle me permet de générer un complément de revenu par rapport à la pension alimentaire tout en conservant du temps pour gérer ma famille. 

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Carine Bonnisseau Vendée

Nous pensons partager notre engouement pour notre région, la dynamiser avec la venue de Parisiens et touristes en mal de verdure et d'authenticité en offrant une location saisonnière de qualité. En stigmatisant cette activité et en la pénalisant encore plus avec ce projet de texte de loi, c'est tout un dynamisme régional qui risque d'être remis en question. 

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Florent Hediard Calvados

Des charges lourdes pèsent déjà sur nous : impôts directs, taxes d'habitation et taxe foncière, entretien du bien pour garder son label ou justifier son classement, traitement des conséquences de la sécheresse (fissures prises en charge très partiellement par les assurances en supposant que l’Etat fasse paraître le décret de catastrophe naturelle...). Si les déductions d’impôts sont supprimées je ne vois pas comment cela pourrait régler les problèmes de logement ?

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Denis Cordonnier Lot-et-Garonne

Nous louons notre résidence secondaire 10 à 12 semaines par an, dans le cadre d'une démarche éco-responsable, pleinement soucieuse de l'environnement, du développement de notre territoire breton, et de l'emploi local (nous avons une salariée). Cette démarche m'a permis de baisser mon temps de travail, et de me consacrer à notre enfant, qui présente des besoins particuliers. Un bel équilibre pour tous, que nous souhaitons garder... 

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Laura Côtes d'Armor

Nous participons à l'économie régionale et nationale par nos charges et impôts, l'activité est légale et bienvenue en ces temps difficiles ! Alors défendons ce qui apporte un peu d'air à notre économie...

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Jacques Lacour Landes

Loin d'une approche d'investisseur ou spéculative, la location saisonnière d'un petit gite pour 2 personnes, totalement intégré à ma propriété, n'a pour seul objectif que de m'aider à couvrir les charges de celle-ci. En aucun cas je ne louerai ce local sur une longue durée. Tout durcissement de la fiscalité entrainerait une hausse à due proportion des prix de location, au détriment des vacanciers.

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Catherine Pacot Vendée

Je loue dans ma maison (résidence principale) un petit studio pour couvrir en partie mes dépenses et pouvoir continuer à vivre dans la maison que nous avons construit avec beaucoup d'efforts...

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Manuel Bahia Haute-Savoie

Pour moi, comme pour beaucoup d'hébergeurs, la location saisonnière est un apport supplémentaire à ma retraite et me permet de rencontrer des personnes et de discuter avec eux. Je suis seule et cette location est pour moi une bouffée d'air. Je ne souhaite pas que les conditions actuelles de location soient changées !

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Jeannine Troude Gard

Il faut arrêter d'imposer, de taxer tout et n'importe quoi, de contrôler, d'avoir la main mise, de surveiller les propriétaires de bien(s) immobilier(s) qui permettent aussi à des familles de partir en vacances (à bon prix) et ainsi permettre à une économie locale, un village, une commune, de vivre et de prospérer sans devoir s'endetter ou augmenter les taxes et/ou impôts fonciers. Pour ma part, les revenus que je tire de ma location saisonnière me permettent juste d'entretenir mon bien, de payer les charges de copropriété et de régler les impôts locaux et fonciers !

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Jean-Luc Verhaghe Haute-Savoie

Quand on n'habite pas en continu dans une maison de campagne, c'est important de pouvoir la louer quelques semaines par an, en toute liberté !

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Catherine Hacquebart Indre-et-Loire

Madame, Monsieur. Nous sommes retraités et pour améliorer notre retraite nous sommes obligés de louer 2 pièces dans notre habitation principale moins de 120 jours/an. Dans la loi climat, il est envisagé d'obliger les propriétaires à faire un bilan énergétique et des travaux d'isolation : nous louons exclusivement en été, nous ne chauffons pas pendant la période de location et il n'y a pas de climatisation. Nous vivons cette nouvelle mesure comme une intrusion et une sanction pour se conformer à cette future loi qui ne correspond en rien à la réalité et qui nous oblige à des dépenses. Merci de revoir votre copie.

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Jacqueline PEUROZET Bouches-du-Rhône

Retraite insuffisante à 75 ans je continue à travailler, avec deux enfants au milieu de leurs études supérieures. La location de ma résidence principale 1 a 2 mois par an est mon seul moyen de vivre normalement. 

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Alain PERRIER Var

Maman de 3 enfants, l’activité de location courte durée m’a permis de rebondir après un burn out en entreprise et de me relocaliser dans la région natale de mon mari. Cela permet de pouvoir gérer le suivi de devoirs des enfants et la garde du petit dernier.

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Laëtitia Eure-et-Loir

Je ne loue qu’un seul bien qui va devenir ma résidence principale à la retraite dans 2 ans (enfin si j’y arrive un jour) : je suis donc très loin du profil du propriétaire richissime qu’on veut nous caricaturer. Si par malheur les conditions devaient se compliquer, je cesserai de le louer car il n’est pas question pour moi de le louer à l’année. Je paie mon crédit, et ça ne va pas plus loin. À l’aube des JO 2024, l’Etat français veut-il réellement entrer en conflit (un de plus) avec un secteur qui ne demande rien à personne, tourne tout seul, et rapporte à la France directement et indirectement ? Si les grandes villes manquent de logement, elles n’ont qu'à reprendre les programmes de construction de logement social, qui sont abandonnés depuis des années...

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Catherine Aude

Nous sommes hôtes, ma sœur et moi sur Airbnb depuis 2018 dans notre maison de famille paternelle. En 2016, le maire du village nous contacte afin qu'elle ne reste pas vacante suite au décès de notre belle-mère. Alors, connaissant des amis ayant une chambre sur Airbnb à Paris, nous nous sommes lancées dans cette folle aventure d'accueillir des voyageurs. De prime abord, en pleine campagne sans attraction particulière, cela paraissait impossible. Et pourtant, dès la première année, nous avons eu des voyageurs internationaux amoureux des villages typiques à la française et du calme ensoleillé, puis c'est avec surprise que des ouvriers sur des chantiers ferroviaires nous sollicitent, des infirmières en remplacement, des étudiants en stage, des retraités entre deux résidences, des jeunes couples qui cherchent à s'installer dans la région ... Nous faisons ainsi revivre notre maison de famille. Nous participons aussi à la revitalisation du centre bourg du village qui a vu s'installer depuis, un magasin de vêtements et qui prochainement verra l'ouverture d'un salon de thé ! En outre, cette activité d'hébergement nous aide à faire face aux impôts, aux charges et aux travaux de rénovation énergétiques de la maison. La proposition de loi sur la LCD n'est malheureusement pas adaptée à toutes les réalités. Aussi nous avons mobilisé nos représentants pour qu'ils tiennent compte des 80 % de particuliers sur la plateforme qui, comme nous, accueillent des voyageurs sans tarif excessifs et qui ont a cœur de faire connaître et revivre leur territoire.

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Cathy et Sophie Ariège

J'ai un cottage indépendant à la maison situé sur le bord du canal Louis 14. Il est parfois occupé par nos enfants mais le louer de temps en temps me semble propice. C’est une petite rentrée financière pour nos frais divers et une halte bénéfique aux parisiens en quête de verdure de calme et de détente. Cela reste très ponctuel et permet aux personnes de découvrir notre région. L'Eure-et-Loir n'est pas encore très touristique, et il y a beaucoup de choses à voir où à faire. Ce serait dommage de restreindre cette opportunité ! Passer parfois plusieurs jours dans notre région me paraît important. Nous sommes aux portes de Paris à environ 1h et dans une région qui est un échappatoire utile pour décompresser de la vie parisienne, du stress et du besoin de calme et de verdure. Plus que jamais ce bien être que l'on offre me semble capital. Nos prix sont très raisonnables et nos gains nous aident au quotidien. 

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Jérôme Eure-et-Loir

Lutte contre le dérèglement climatique et la crise du logement : nous aussi, nous souhaitons nous associer à ces combats d’intérêt général. Trouvons ensemble des solutions de bons sens !

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  • Proposition n°1
  • Proposition n°2
  • Proposition n°3

En tant qu’association regroupant les principaux acteurs de la location de vacances, nous souhaitions donner la voix à nos premiers utilisateurs, les hébergeurs, souvent désignés à tort comme bouc émissaires de la crise du logement. Je vous propose de saisir cette occasion de faire entendre votre voix.

Dominique DEBUIRE Président de l’UNPLV
UNPLV - Union Nationale pour la Promotion de la Location de VACANCES

L’Union Nationale pour la Promotion de la Location de Vacances, rassemble les principaux acteurs de la location de vacances. L’UNPLV promeut un dialogue constant avec les pouvoirs publics et l’ensemble des acteurs dans le but d’alimenter la réflexion autour d’un secteur en plein développement, et de favoriser un cadre réglementaire équilibré, clair et applicable par tous.

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